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Centres résidentiels d'action éducative
CRAE

 

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"Il n'y a pas de meilleur voyage que de rentrer chez soi."

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Quand on me demande quel est mon métier, je ne sais pas quoi répondre, il m'est difficile de décrire mon métier.

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Je parle de garçons et de filles qui viennent avec des marques gravées dans leur âme, souvent invisibles à nos yeux et qui ont besoin d'être protégés.

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Quand je regarde leurs regards, souvent tristes, je vois leurs cicatrices. Quand je touche leurs mains souvent tremblantes, je ressens leurs tourments.

 

L'histoire vraie de nombreux garçons et filles de ma résidence commence lorsque nous ouvrons les yeux, grâce à laquelle ils peuvent se reconnaître au-delà de leur passé, grâce à cela ils peuvent changer leur avenir.

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Mon travail est de voir le regard de leurs âmes et de savoir les reconnaître.

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Antonio Arguelles, Barcelone

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Il existe une réalité sociale qui affecte des millions de garçons et de filles dans le monde ; cette réalité échappe la plupart du temps à leur contrôle, les laissant dans une situation d’impuissance familiale.

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Il y a en Espagne des garçons et des filles qui sont placés en institution ou en institution, ceux-ci présentent une série de lacunes ou de besoins auxquels il faut apporter une solution.

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La vision de ces garçons et filles dans ces résidences est stéréotypée négativement, c'est pourquoi la réalité de ce groupe doit être portée à la connaissance de la société.

Des enfances impuissantes
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